La Nature et Nous
Auteur : Jotapé
Date : Octobre 2024 (photos prises en 07/2025)
Adresse : 1 av Roland Garros - Questembert (56)
Jotapé
Cette fresque a été peinte par l’artiste chilien Jotapé, Juan Pablo Gatica de son vrai nom, sur le mur du gymnase de Questembert. Un mur en dent de scie pas facile à peindre, et pas facile à prendre en photo lorsque le soleil donne dessus…
Jotapé utilise des pigments naturels écologiques et des peintures résistantes à l'eau, tout en privilégiant la technique du pinceau.
« Cette fresque nous invite à une méditation visuelle sur la relation de l’humanité avec le monde. Une femme et un homme se tiennent au centre de la composition, symbolisant la dualité et l’équilibre. L’homme tient un orbe délicat et éclatant – un geste qui transmet soin, émerveillement et fragilité de l’existence. Sa compagne regarde vers un ciel ouvert peuplé d’oiseaux qui s’envolent, juxtaposant liberté et potentiel contre la géométrie contenue du mur.
Jotapé décrit l’inspiration derrière la fresque comme ancrée dans l’existentialisme, explorant les mythes, les portraits et les dualistes du cycle de la vie. L’imagerie semble capturer des moments de naissance, de croissance et de transcendance. Les fleurs fleurissent et se fondent dans des paysages éthérés, tandis que les méduses dérivent doucement dans l’eau en cascade, évoquant la connexion mystérieuse entre le terrestre et l’aquatique, le tangible et l’intangible.
L’utilisation de la couleur ajoute une autre dimension. Les bleus et les violets évoquent tranquillité et introspection, tandis que les rouges et les jaunes rayonnent de chaleur et de vitalité. Cette interaction de teintes reflète la tension existentielle entre les moments fugaces de la vie et les questions éternelles qui nous lient tous.
Cette fresque va au-delà de l’esthétique ; elle crée un espace de dialogue et d’introspection. Cette œuvre nous défie de reconsidérer la façon dont nous percevons le monde ! » (tiré du site https://www.rochefortenterre-tourisme.bzh/).
Jotapé utilise des pigments naturels écologiques et des peintures résistantes à l'eau, tout en privilégiant la technique du pinceau.
« Cette fresque nous invite à une méditation visuelle sur la relation de l’humanité avec le monde. Une femme et un homme se tiennent au centre de la composition, symbolisant la dualité et l’équilibre. L’homme tient un orbe délicat et éclatant – un geste qui transmet soin, émerveillement et fragilité de l’existence. Sa compagne regarde vers un ciel ouvert peuplé d’oiseaux qui s’envolent, juxtaposant liberté et potentiel contre la géométrie contenue du mur.
Jotapé décrit l’inspiration derrière la fresque comme ancrée dans l’existentialisme, explorant les mythes, les portraits et les dualistes du cycle de la vie. L’imagerie semble capturer des moments de naissance, de croissance et de transcendance. Les fleurs fleurissent et se fondent dans des paysages éthérés, tandis que les méduses dérivent doucement dans l’eau en cascade, évoquant la connexion mystérieuse entre le terrestre et l’aquatique, le tangible et l’intangible.
L’utilisation de la couleur ajoute une autre dimension. Les bleus et les violets évoquent tranquillité et introspection, tandis que les rouges et les jaunes rayonnent de chaleur et de vitalité. Cette interaction de teintes reflète la tension existentielle entre les moments fugaces de la vie et les questions éternelles qui nous lient tous.
Cette fresque va au-delà de l’esthétique ; elle crée un espace de dialogue et d’introspection. Cette œuvre nous défie de reconsidérer la façon dont nous percevons le monde ! » (tiré du site https://www.rochefortenterre-tourisme.bzh/).
